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4 Janvier 2018 , Rédigé par les scientifiques

ES REPERCUSSIONS SUR L’ORGANISME ET L’ENVIRONNEMENT

 

Naomi a énoncé les dangers et problèmes encourus par ses types de transport. Ils sont en grand nombre mais les plus importants pour notre santé et pour la planète sont : la pollution, le changement climatique, co2, gaz à effet de serre.

Le principal problème est LA POLLUTION

Mais qu’est-ce la pollution ? La pollution, est une dégradation, d’un écosystème par introduction de substance ou de  radiation dans l’air l’eau ou le sol n’étant pas présentes naturellement dans le milieu et alternant de façon plus au moins importante. Le fonctionnement de cet écosystème et les conséquences peuvent aller jusqu’à la migration ou l’extinction de certaines espèces incapables de s’adapter à l’environnement.  La pollution est permanente, périodique ou accidentelle.

Ce mot désigne aussi les conséquences du phénomène géologique (éruption volcanique…) et a des répercussions sur la santé et la biosphère.

Elle peut aussi être atrophique (induite par les humains (pesticides)) ou non humain (rejet du méthane…)

Il existe différents types de pollution :

-        La pollution diffuse : c’est une pollution des eaux dû aux rejets issus de toute la surface d’un territoire et transmis aux milieux aquatiques. Les pratiques agricoles sur la surface cultivée peuvent être à l’origine de pollutions diffuses par entraînement de produits polluants dans les eaux. Elles ne peuvent être traitées qu’à la source suite à la multiplicité, et souvent la discrétion, des sources de contamination. Elle est aussi peu visible mais son effet sur l’environnement n’en est pas moins sensible.

-        La pollution acoustique : ce sont des nuisances liées à des activités humaines dépassant le seuil de nocivité pour l’acuité auditive.

-        La pollution électromagnétique : c’est l’exposition  excessive d’appareils à des champs magnétiques majeurs qui affectent la santé.

-        La pollution chronique : c’est une pollution permanente causée soit par des émissions répétées ou continues de polluants, soit par la présence de polluants très rémanents.

-        La pollution atmosphérique : c’est l’introduction directe ou indirecte de substances chimiques, brèves ou chroniques. Visible ou non, émise massivement ou en quantité dispersée, elle peut être naturelle (fumée de volcan)

Le co2

Cette pollution mène au co2. Le dioxyde de carbone (C02) est l'appellation chimique du gaz carbonique de formule CO2. Le dioxyde de carbone (C02)  se présente, sous les conditions normales en gaz incolore, inerte et non toxique, est le principal gaz à effet de serre à l'état naturel, avec la vapeur d'eau. Sa durée de vie dans l'atmosphère est d'environ 100 ans. Le co2 est Le dioxyde de carbone, aussi appelé gaz carbonique ou anhydride carbonique, est un composé inorganique dont la formule chimique est CO2, la molécule ayant une structure linéaire de la forme O=C=O. température Le CO2 est utilisé par l'anabolisme des végétaux pour produire de la biomasse à travers la photosynthèse, processus qui consiste à réduire le dioxyde de carbone par l'eau, grâce à l'énergie lumineuse reçue du soleil et captée par la chlorophylle, en libérant de l'oxygène pour produire des oses, et en premier lieu du glucose par le cycle de Calvin. Le CO2 est libéré, à travers le cycle de Krebs, par le catabolisme des plantes, des animaux, des fungi (mycètes, ou champignons) et des micro-organismes. Ce catabolisme consiste notamment à oxyder les lipides et les glucides en eau et en dioxyde de carbone grâce à l'oxygène de l'air pour produire de l'énergie et du pouvoir réducteur. Le CO2 est par conséquent un élément fondamental du cycle du carbone sur notre planète. Il est également produit par la combustion des énergies fossiles telles que le charbon, le gaz naturel et le pétrole, ainsi que par celle de toutes les matières organiques en général. Des quantités significatives de CO2 sont par ailleurs rejetées par les volcans et autres phénomènes géothermiques tels que les geysers. Par ailleurs, l'acidification des océans résultant de la dissolution du dioxyde de carbone atmosphérique pourrait compromettre la survie de nombreux organismes marins avant la fin du XXIe siècle, notamment tous ceux à exosquelette calcifié tels que les coraux, et les coquillages, mais aussi de certains poissons Le CO2 se dissout dans l’eau et y forme de l’acide carbonique .Il est également liposoluble (soluble dans les corps gras).L’acide carbonique n’est que modérément stable et il se décompose facilement en H2O et CO2. En revanche, lorsque le dioxyde de carbone se dissout dans une solution aqueuse basique. De cette façon, la solubilité du CO2 est considérablement augmentée. Par exemple, une solution aqueuse saturée de carbonate de potassium K2CO3 a une concentration de en carbonate à 20 °C. C'est ainsi que le calcaire se dissout dans l'eau, dans la plage de pH dans laquelle l'hydrogénocarbonate acide est stable, en produisant une solution d'hydrogénocarbonate(s) (de calcium et de magnésium…). Il est donc susceptible de précipiter lorsque le CO2 dissous est dégazé, comme dans la formation des stalagmites et des stalactites. Le calcaire a ainsi, en présence de CO2, une solubilité qui diminue quand la température augmente, à l'instar des gaz et au contraire de la plupart des solides. Dans certaines conditions le CO2 peut être piégé dans des cages d'eau dites clathrates. C'est un des moyens possibles de séparation industrielle du CO2 contenu dans un gaz en précombustion. C'est aussi un des moyens envisagés de séquestration de CO2 industrielle ou de stockage géologique étudié Le dioxyde de carbone est l'un des premiers gaz (avec la vapeur d'eau) à avoir été décrit comme étant une substance distincte de l'air. Au XVIIe siècle, le chimiste et médecin flamand Jean-Baptiste Van Helmont observa qu'en brûlant du charbon de bois en vase clos, la masse des cendres résultantes est inférieure à celle du charbon. Son interprétation était que la masse manquante s'était transmutée en une substance invisible. Les propriétés du dioxyde de carbone furent étudiées plus en détail dans les années 1750 par le chimiste et physicien écossais Joseph Black. Il découvrit qu'en chauffant ou en versant un acide sur du calcaire, il en résultait l'émission d'un gaz. Il observa que celui-ci est plus dense que l'air. Black découvrit également que lorsque le dioxyde de carbone est introduit dans une solution calcaire il en résulte un précipité de carbonate de calcium. Il utilisa ce phénomène pour illustrer le fait que le dioxyde de carbone est produit par la respiration animale et la fermentation microbienne. En 1781, le chimiste français Antoine Lavoisier mit en évidence le fait que ce gaz est le produit de la combustion du carbone avec le dioxygène. Le dioxyde de carbone fut liquéfié pour la première fois en 1823 par Humphry Davy et Michael Faraday. La première description du dioxyde de carbone en phase solide fut écrite par Charles Thilorier, qui en 1834 ouvrit un container pressurisé de gaz carbonique liquéfié et découvrit que le refroidissement produit par la rapide évaporation du liquide générait de la « neige » de CO2. Sous forme liquide, il est utilisé comme : réfrigérant pour congeler certains aliments ; réfrigérant dans l’industrie électronique ou agent d’extinction dans les extincteurs dits « au dioxyde de carbone », on parle parfois de neige carbonique parce qu'une partie du CO2 liquide se solidifie immédiatement à la sortie de l’extincteur en produisant une poudre blanche en mélange avec du dioxyde de carbone gazeux. Le dioxyde de carbone sous forme solide a de nombreuses appellations : « glace carbonique », « neige carbonique », « glace sèche ». Il est issu de la solidification du CO2 liquide. On obtient de la neige carbonique qui est ensuite comprimée pour obtenir de la glace carbonique. Il est commercialisé sous différentes présentations selon son usage : en granules essentiellement pour le nettoyage et le décapage cryogénique ; en bâtonnets pour la conservation, pour la vinification : il ralentit la fermentation et évite l'oxydation ; ou bien dans le ravitaillement aérien. À partir d'une certaine concentration dans l'air, ce gaz s'avère dangereux voire mortel à cause du risque d'asphyxie ou d'acidose, bien que le CO2 ne soit pas chimiquement toxique. La valeur limite d'exposition est de 3 % sur une durée de quinze minutes. Cette valeur ne doit jamais être dépassée. Au-delà, les effets sur la santé sont d'autant plus graves que la teneur en CO2 augmente. Ainsi, à 2 % de CO2 dans l’air, l'amplitude respiratoire augmente. À 4 %, la fréquence respiratoire s'accélère. À 10 %, peuvent apparaître des troubles visuels, des tremblements et des sueurs. À 15 %, c'est la perte de connaissance brutale. À 25 %, un arrêt respiratoire entraîne le décès. L'inhalation de dioxyde de carbone concentré entraîne un blocage de la ventilation, parfois décrit comme une violente sensation d'étranglement, un souffle coupé, une détresse respiratoire ou encore une oppression thoracique, pouvant rapidement mener au décès si l'exposition est prolongée. Le CO2 est un gaz à effet de serre bien connu, transparent en lumière visible mais absorbant dans le domaine infrarouge, de sorte qu'il tend à bloquer la réémission vers l'espace de l'énergie thermique reçue au sol sous l'effet du rayonnement solaire ; il serait responsable de 26 % de l'effet de serre à l'œuvre dans notre atmosphère (la vapeur d'eau en assurant 60 %), où l'augmentation de sa concentration serait en partie responsable du réchauffement climatique constaté à l'échelle de notre planète depuis les dernières décennies du XXe siècle.

 

 

 

Qu’Est-ce que le gaz à effet de serre ?

On l'appelle « effet de serre » car le fonctionnement de ce phénomène est comparable à ce qui se passe dans une serre en verre. Le phénomène naturel est utile pour la Terre. On peut même dire que sans lui, il n'y aurait pas de vie. Mais certaines activités de l'Homme l'ont modifié. L’effet de serre est un processus naturel résultant de l’influence de l'atmosphère sur les différents flux thermiques contribuant aux températures au sol d'une planète. La prise en compte de ce mécanisme est nécessaire pour expliquer les températures observées à la surface de la Terre et de Vénus. Dans le système solaire, l'essentiel de l'énergie thermique reçue par une planète provient du rayonnement solaire et, en l’absence d'atmosphère, une planète rayonne idéalement comme un corps noir, l'atmosphère d'une planète absorbe et réfléchit une partie de ces rayonnements modifiant ainsi l'équilibre thermique. Ainsi l'atmosphère isole la Terre du vide spatial comme une serre isole les plantes de l'air extérieur. L'effet de serre est un phénomène naturel provoquant une élévation de la température à la surface de notre planète. Indispensable à notre survie, ce fragile équilibre est menacé. Les activités humaines affectent la composition chimique de l'atmosphère et entraînent l'apparition d'un effet de serre additionnel, responsable en grande partie du changement climatique actuel. Les deux tiers de l'énergie en provenance du soleil sont absorbés par l'atmosphère, les sols et l'océan. Le tiers restant est directement réfléchi vers l'espace par les nuages, les aérosols, l'atmosphère et la surface terrestre. Atmosphère et surface terrestre émettent en retour un rayonnement infrarouge que les nuages et les gaz à effet de serre (vapeur d'eau, dioxyde de carbone, ozone et méthane pour les plus importants) absorbent et réémettent en grande partie vers le sol. Les gaz à effet de serre ont en effet la particularité d'être pratiquement transparents au rayonnement solaire et opaque au rayonnement infrarouge émis par la terre. L'énergie est piégée. Ce phénomène a été baptisé « effet de serre » par analogie avec la serre du jardinier. On estime que sans cet effet de serre de l'atmosphère, la température moyenne à la surface de la terre serait au plus de - 19°C au lieu des 15°C que nous connaissons. Pour que la température du système terre-atmosphère soit stable, il faut que le bilan énergétique au sommet de l'atmosphère et en surface soit nul.il existe plusieurs gaz à effet de serre comme la vapeur d’eau qui est responsable à elle seule de la grande majorité de l'effet de serre naturel .le dioxyde de carbone dont la concentration peut augmenter du fait de processus naturels comme les éruptions volcaniques et les feux de forêts ou de brousse. Mais ce sont les activités humaines avec l'utilisation de carbone fossile suite à l’utilisation des transports avec les gaz d’échappement de la voiture ou le kérosène utilise pour alimenter les avions, ou alors le méthane qui est plus puissant que le co2. Il est souvent lié aux processus de fermentation. Il y a aussi l’ozone il nous protège du rayonnement solaire ultraviolet qu'il absorbe. De l'ozone est également produit dans les basses couches de l'atmosphère à partir de composés organiques volatiles émis par les activités humaines. Vapeur d'eau : 60 % dioxyde de carbone : 26 % ozone : 8 % méthane et oxyde nitreux : 6 % Les aérosols sont de fines particules en suspension dans l'air. Ils sont présents naturellement dans l'atmosphère (volcanisme, incendies...) mais leur concentration a grandement augmenté avec les activités industrielles. Contrairement aux gaz à effet de serre, les aérosols ont un effet généralement refroidissant sur le système terre-atmosphère. Ces poussières en suspension absorbent et diffusent le rayonnement solaire dont une partie est renvoyée vers l'espace. Une partie du rayonnement solaire manque donc à l'atmosphère, mais aussi à la surface terrestre, d'où cet effet refroidissant. En plus de cette conséquence directe, les aérosols ont un impact sur la formation, la composition physique et l'albédo (pouvoir de réflexion) des nuages. Ces effets indirects provoquent également un refroidissement. A l'inverse, d'autres effets de réchauffement liés aux aérosols sont aussi possibles (en particulier pour les aérosols carbonés et le dépôt d'aérosols sur la neige), mais les effets refroidissant l'emportent globalement. Masquant en partie le réchauffement dû aux gaz à effet de serre, les aérosols font l'objet de recherches pour mieux comprendre et quantifier leur impact. L'effet de serre n'est pas en soi nocif aux écosystèmes ; sans lui, la Terre ne serait qu'une boule de glace où la vie ne serait pas possible, car il n'y aurait pas d'eau liquide. Le danger pour les écosystèmes réside plutôt dans la variation trop rapide et trop importante des conditions climatiques pour que la plupart des espèces dites évoluées puissent s'adapter en cas de changements de température et de pluviométrie. Des écosystèmes marins et littoraux pourraient également être touchés par une hausse du niveau de la mer et des modifications des courants marins et des conditions physico-chimiques de l'eau de mer. Les populations humaines seraient évidemment touchées par le réchauffement climatique. En effet, une hausse des températures aide à la prolifération des maladies infectieuses puisque celles-ci survivent mieux dans des milieux chauds et humides. L'effet de serre et le réchauffement climatique qu'il induit sont assez souvent confondus avec l'altération de la couche d'ozone30. Il s'agit pourtant de deux phénomènes bien distincts, le premier concernant la rétention dans l'atmosphère des infrarouges (autrement dit de la chaleur) ; le second concernant l'augmentation de la transparence de l'atmosphère aux ultraviolets. Par ailleurs, si les principaux responsables de l'altération de la couche d'ozone, à savoir les CFC (chlorofluorocarbures, interdits dans les pays industriels dès 1989) sont aussi des gaz à effet de serre, l'inverse n'est pas vrai : les gaz à effet de serre tels que le dioxyde de carbone et le méthane n'ont aucun effet sur la couche d'ozone.

Qu’Est-ce le changement climatique ?

Le réchauffement climatique est l’augmentation de la température moyenne à la surface de la planète. Il est dû aux g à z à effet de serre rejetés par les activités humaines (industrie, transports, agriculture…) et retenus dans l'atmosphère. Au cours du XX eme siècle, la température a augmenté de 0,6°C en moyenne. Le réchauffement moyen pourrait atteindre de 1,4°C à 5,8°C de plus d'ici la fin du XXI eme siècle. Un changement climatique, ou dérèglement climatique, correspond à une modification durable (de la décennie au million d'années) des paramètres statistiques (paramètres moyens, variabilité) du climat global de la Terre ou de ses divers climats régionaux. Ces changements peuvent être dus à des processus intrinsèques à la Terre, à des influences extérieures aux activités humaines. Le changement climatique anthropique est le fait des émissions de gaz à effet de serre engendrées par les activités humaines, modifiant la composition de l'atmosphère de la planète1. À cette évolution viennent s'ajouter les variations naturelles du climat. Comme je l’ai dit la plus grande partie des émissions de CO2 vient de sources naturelles (comme la végétation en décomposition), mais ce sont les émissions dues aux activités humaines qui conduisent au réchauffement climatique en provoquant un déséquilibre. En effet, les émissions naturelles font partie d'un cycle où le carbone s'échange entre l'atmosphère et la végétation. Par exemple, les arbres qui meurent et la respiration des hommes et des animaux produisent du CO2 tandis que les plantes vivantes et les arbres absorbent la même quantité de CO2. Lorsque nous brûlons des énergies fossiles, nous ajoutons du carbone dans l'atmosphère qui ne faisait pas partie initialement du cycle, car ce carbone provient de sources enfouies profondément sous la terre ou sous les océans. Ceci crée un surplus de CO2 qui reste dans l'atmosphère pendant longtemps, ce qui entraîne ce déséquilibre. Les conséquences de ce changement climatique sont : la modification de l'habitat des animaux ainsi que des végétaux, ce qui provoquera un déséquilibre de la répartition des espèces et perturbera les écosystèmes. Chez les animaux, la conséquence du changement climatique est une migration de certaines espèces vers les pôles ou en altitude ce qui les fait entrer en compétition avec d'autres espèces. Cette compétition pourra surement provoquer l'élimination d'une espèce par une autre. Chez les espèces végétales, la conséquence du changement climatique est qu'elles se déplaceraient vers le nord pour la plupart ou mourraient à cause de leur incapacité à migrer. L'élévation du niveau des mers sera une autre conséquence provoquée principalement par la fonte des glaciers aux pôles et par la dilatation thermique de l'eau (plus l'eau est chaude, plus elle occupe un volume important).On envisage que le niveau augmentera d'environ cinquante centimètres d'ici à 2100. Certains deltas, lagunes et régions littorales pourraient être submergés. De nombreuses contraintes sont à prévoir pour l'homme :Un déplacement des populations dû à l'augmentation du niveau des mers (risques d'inondations). Un développement des maladies. Des difficultés à se procurer de l'eau et de la nourriture à cause de l'augmentation de la sécheresse. Une augmentation des catastrophes naturelles ( cyclones, sécheresse, inondations...).

 

 

Mais les transports fabriquent à eux même leur propre pollution :

La voiture : la voiture a des impacts sur l’atmosphère. Ils peuvent être directs ou non direct, globaux ou locaux .Les impacts concernent l'air, l'atmosphère planétaire et le climat, l'eau, les sols, la flore et la faune. L’automobile est devenue le principal responsable des smogs urbains.

Le smog : SMOG est un mot-valise formé à partir des termes anglais smocké (fumée) et fog (brouillard). Ce néologisme (inventé par Henry Antoine Des Vœux) est apparu en 1905, à l’époque de la révolution industrielle, quand le brouillard et la fumée des usines londoniennes fusionnaient. Le smog est une brume brunâtre épaisse, provenant d'un mélange de polluants atmosphériques avec de la fumée, qui limite la visibilité dans l’atmosphère et qui se forme généralement au-dessus des centres urbains. Il est constitué surtout de particules fines primaire (pollen et poussière)  et secondaires (oxydes de soufre, ammoniac et composés organiques volatils) et d'ozone troposphérique. Le smog est associé à plusieurs effets néfastes pour la santé et pour l'environnement. En règle générale, c’est l’ozone au niveau du sol que l’on mesure afin d’évaluer l’importance du smog en milieu urbain. Le smog résulte de la condensation dans les basses couches de l'atmosphère (troposphère) du brouillard sur des poussières en suspension, souvent en présence d'ozone et de NOx dans la troposphère dans un contexte où des gaz d'échappement ou de la fumée sont produits par la combustion de combustibles fossiles, avec émissions de quantités importantes de gaz sulfureux (comme le dioxyde de soufre). Ce cocktail de polluants interfère avec les autres poussières en suspension sur lesquelles se condense la vapeur d'eau contenue dans l'air. Le smog provoque des maladies respiratoires et vasculaires.

L'avion: Pourquoi voyager en avion n'est pas bon pour la planète?

 

En constante augmentation depuis plusieurs dizaines d’années, le trafic aérien mondial n’est pas sans conséquences pour l’environnement. Selon les chiffres de l’IATA (l’Association internationale du transport aérien), le trafic aérien mondial de passagers a augmenté de 5,5 %. A l’échelle mondiale, l’aviation cumule 2% des émissions de gaz à effet de serre. Un pourcentage qui devrait augmenter, en corrélation avec la hausse du trafic aérien. Si on tient compte du taux de remplissage moyen d'un avion de ligne, la consommation moyenne par passager est de 3,5 litres de kérosène pour 100 km. Pour une voiture moyenne qui consomme 5l d'essence pour 100 km, si l’on tient compte du taux de remplissage moyen qui est de 1,5 personne, on arrive à 3,3 litres pour 100km. La différence entre avion et voiture n'est pas énorme au niveau de la consommation d'énergie. Pour la pollution de l'air, la production de CO2 (donc de gaz carbonique) est de 90g par km et par passager pour un long courrier et de 180 g pour un court courrier. Une voiture, produit environ 80 g de CO2 par passager. L'avion consomme et pollue donc plus que la voiture mais pas autant qu'on ne pourrait l'imaginer. Le trafic aérien reste le mode de transport le plus polluant. Il présente en effet la consommation d’énergie primaire et le taux d’émission de CO2 les plus hauts. Ajouté à cela, le fort rejet par les appareils d’oxyde d’azote, de dioxyde de soufre, de monoxyde de carbone et de vapeur d’eau notamment. 14 g de CO2/passager/km pour le train ,42 g de CO2/passager/km pour une petite voiture ,55 g de CO2/passager/km pour une voiture moyenne ,68 g de CO2/passager/km pour un bus ,72 g de CO2/passager/km pour un deux roue motorisé ,285 g de CO2/passager/km pour un avion

 

Mais quels sont les conséquences des énergies primaires et du co2 ?

 

L’impact sur l’ozone et les nuages des avions est très élevé du fait qu’ils volent à haute altitude et qu’ils émettent de nombreux gaz et matières polluantes. Mais les particules de pollution finissent par se dissiper avec le temps. Ce sont donc près de 660 millions de tonnes de CO2 qui sont émises par les avions, soit plus de 20 000 kilos de CO2 par seconde .Pour chaque kilo de kérosène utilisé, ce sont 3 kilos de C02 qui sont émis. Quand, par exemple, on fait en avion un aller-retour Paris / New York en première classe, on émet plus de 2,5 tonnes de CO2.Le dioxyde de carbone, aussi appelé gaz carbonique ou anhydride carbonique, est un composé inorganique dont la formule chimique est CO2 Il se présente, sous les conditions normales de température et de pression, comme un gaz incolore, inodore, à la saveur piquante. Le CO2 est utilisé par l'anabolisme des végétaux pour produire de la biomasse à travers la photosynthèse, processus qui consiste à réduire le dioxyde de carbone par l'eau, grâce à l'énergie lumineuse reçue du soleil et captée par la chlorophylle, en libérant de l'oxygène pour produire des oses, et en premier lieu du glucose par le cycle de Calvin. Le CO2 est libéré, à travers le cycle de Krebs, par le catabolisme des plantes, des animaux, des fungi (mycètes, ou champignons) et des micro-organismes. Ce catabolisme consiste notamment à oxyder les lipides et les glucides en eau et en dioxyde de carbone grâce à l'oxygène de l'air pour produire de l'énergie et du pouvoir réducteur. Le CO2 est par conséquent un élément fondamental du cycle du carbone sur notre planète. Il est également produit par la combustion des énergies fossiles telles que le charbon, le gaz naturel et le pétrole, ainsi que par celle de toutes les matières organiques en général. Des quantités significatives de CO2 sont par ailleurs rejetées par les volcans et autres phénomènes géothermiques. Trois types d'émissions sont successivement affichés : Les "émissions de CO2/passager équivalent (kg) pour le vol" représentent la quantité de CO2 émise par l'avion pour chacun des passagers équivalents transportés. .Les "émissions de CO2/passager équivalent (en kg) pour la production et la distribution du kérosène" représentent les émissions liées à la production (raffinage, etc.) et au transport du kérosène qui sera nécessaire à la prestation de transport pour chaque passager équivalent. Les "émissions totales de CO2/passager équivalent(en kg)" représentent la somme des deux composantes précédentes. L'avion nous permet aujourd'hui de parcourir des milliers de km en quelques heures et pour pas cher. Mais ces milliers de km ont des conséquences environnementales considérables

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